POUR UN oui ou

pour un non

nathalie sarraute

REVUE DE PRESSE

(…) Paddy Sherlock (dont l’accent irlandais apporte beaucoup de caractère au personnage) et Jean-Marie Russo (qui a également signé la mise en scène) rendent avec brio toute la complexité de ces personnages qui nous représentent tous (…) et de leur relation. La pièce s’ouvre sur un dialogue entre percussion et trombone à coulisse, annonçant bien que ce qui va suivre questionne un au-delà du langage… Elle se déroule ensuite dans le cadre sobre d’un grand lego que les deux comédiens construisent et reconstruisent, redéfinissant constamment l’espace, et par là le rapport de l’un à l’autre. Un spectacle original et abouti, plein de finesse et d’humanité.
Arthur Baldensperger / LA MARSEILLAISE

La désagrégation d’une amitié vue pas Sarraute. Difficile de résister. D’autant que les deux comédiens sont bien bons.
FIGAROSCOPE.FR 

(…) il est difficile de ne pas être sensible à cette pièce qui raconte la désagrégation subtile d’une amitié. On songe à Art, de Yasmina Reza, c’est tout dire ! (…) on s’intéresse vraiment à ce qui se passe dans le cœur de ces deux amis. Il faut dire que les comédiens sont excellents : Jean-Marie Russo, qui signe aussi la mise en scène, et Paddy Sherlock.
Jean-Luc Jeener / FIGAROSCOPE

(…) Jean-Marie Russo a mis en scène et interprète une grande pièce écrite par Nathalie Sarraute. La mise en scène est épurée, dans un décor strict qui s’applique parfaitement à cette pièce sur la paranoïa. L’interprétation d’une petite phrase va être le point de départ d’une engueulade entre les deux acteurs. Qui n’a pas connu cela ? Qui ne se souvient pas de ces disputes où tout remonte en un torrent de colère et de haine, pour finir… Paddy Sherlock fait son entrée sur scène avec son trombone ! Vous sortirez de cette heure de théâtre un peu mieux qu’en arrivant !
Patrick Pelloux / CHARLIE HEBDO

Deux comédiens (…) interprètent excellemment une partition dont on appréciera la rigueur toute mathématique.
Les fioritures ne sont pas de mise, tout ici, comme chaque mot, chaque silence, est de l’ordre de l’essentiel.

Pierre Notte / L’ÉVÉNEMENT DU JEUDI  /  LA TERRASSE

Jean-Marie Russo a choisi le parti du respect et de la nudité. (…) tout se dit avec un dépouillement égal à celui du décor. 
Gilles Costaz / LE JOURNAL DU THÉÂTRE

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